Infirmière, je suis devenue Sophrologue.
J’ai d’abord été infirmière, en bloc opératoire et en salle d’examen ou polyclinique. Je connais donc bien le milieu quelquefois redouté, des interventions chirurgicales et autres examens, comme les endoscopies par exemple.
L’exercice de ces métiers très utiles et techniques, que j’ai aimé faire, me sont apparus progressivement insuffisants pour respecter la relation étroite qui existe entre le corps et le mental, alors même que celle-ci est quasi permanente. Dans la vie de tous les jours, chacun expérimente, pour peu qu’il y prête attention, comment le mental influence constamment le ressenti corporel et réciproquement.
Formée à l’École Alsacienne de Sophrologie, j’ai rencontré avec cette discipline, le moyen de concilier ma profession d’infirmière avec une nécessaire prise en compte de l’interaction du physique et du mental en chaque personne. J’ai trouvé avec la sophrologie la possibilité d’apporter une aide aux personnes souffrantes.
Je suis sophrologue praticienne spécialiste et je continue à me former.
J’exerce mon activité dans le respect de la déontologie de mes deux métiers.